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Enfin, dans le projet Mixcité, suspendu pour l’instant grâce à l’action des riverains, il y avait ce projet de coliving, résidence d’appartements à parttager : Des logements à partager, avec divers services dans la résidence du genre spa, salle de fitness, café épicerie etc…
Ce qui n’est pas nouveau à Vanves même si le concept a évolué avec le coliving : Mais c’est ce que proposait à l’époque de sa construction la résidence des célibataires rue du Moulin, construite en même temps que l’hôtel Mercure et ses immeubles voisins en 1982/1983 sur le Plateau : Ce n’était pas des appartements partagés, mais 220 studios de 25 m2 avec différents services : Salle de gymnastique, buanterie avec des machines à laver le linge et deux sécheusses, une sllteTV…Cette résidence avait été imaginé par le promoteur Pierre Devillard.
D’ailleurs dans les immeubles riverains du parc des expositions à Vanves comme chez les communes voisines, les agents immobiliers et notaires, ont noté que des entreprises recherchent de grands appartements pour les transformer en coliving avec 3 à 4 ou 5 chambres avec living/salle à Manger, cuisine communes pour les louer à des personnes venant travailler pour un salon ou plus longtemps 6 mois, un an ou plus à Paris. Un nouveau phénoméne.
Comme d’habitude l’abattage d’arbres suscite l’émoi des riverains que ce soit à Vanves ou ailleurs, d’autant lorsqu’il est effectué pendant les vacances, dans la torpeur de l’été, alors qu’ils sont absents. Et cela n’a pas manqué puisque les riverains de la rue Jean Jaurés entre le carrefour Albert Legris et le parc des expositions (rues du Moulin et Marcel Yol) ont protesté à la suite de l’abattage de quatre cerisiers du Japon. Ils ne pourront plus chantonnés « les cerisiers sont blanc » de Gilbert Bécaud. Auraient ils été victime de la canicule en n’ayant pas résisté au 42.9° comme ce fut le cas pour les cerisiers du quartier d’affaire de la défense ? C’est sûrement le cas.
C’est ce que laisse entendre la mairie de Vanves avec GPSO en parlant des conséquences des derniers phénoménes météorologiques de début Juin et Fin Juillet, avec la chute d’arbres et de branches qui «ont démontré, une nouvelle fois, la nécessité de conduire une gestion attentive de ce patrimoine pour la sécurité du public».Ce qui fut la cas pour d’autres arbres abattus, 22 pour être exact, sur le Plateau, 2 rue Pasteur, endommagés par un véhicule, 1 au Skate parck , 1 rue J.BLeuzen devant le Maine Anjou… 1% du patrimoine de 2300 arbres que compte Vanves
En tous les cas, des riverains, individuellement ou par l’intermédiaire de leur conseil syndical ont protesté auprés de la ville car ces arbress donnaient des fleurs mangnifiques au printemps depuis maintenant 30 ans. «Beaucoup de riverains pensent que la principale raison à cette coupe en catimini pendant les vacances, est d’éviter le travail de balayage les quinze jours que dure la chute des fleurs» a écrit l’un d’entre eux au maire, tout en constatant « que le coût des changements de fleurs dans les bacs et les jardiniéres et leur entretien, doit certainement dépasser celui d’un balayage ponctuel de fleurs dans notre rue, une fois par an» expliquait-il « Je me suis laissé dire qu’ils étaient dangereux, ce que je trouve très surprenant car je les regarde quotidiennement et ils ne m’ont pas paru plus fragiles que les cerisiers qui ont été laissés sur place et qui semblent, eux, bien vigoureux» ajoutait un autre
Face à ces critiques et ces « on dit », La ville et GPSO qui gérent ce patrimoine arboré, expliquent «qu’il est étroitement surveillé avec un diagnostic phytosanitaire réalisé par un arboriste expert missionné par GPSO, ainsi que la réalisation de eux contrôles visuels par an : L’un en période hivernale pour apprécier la structure de l’arbre, et l’autre en période estivale pour apprécier sa vitalité pendant la feuillaison». Tout en précisant que «la beauté apparente d’un arbre n’est pas gage de bonne santé : les signes de dépérissement sont bien souvent invisibles. Les arbres vieillissants sont également plus vulnérables aux attaques d’insectes, aux champignons et aux maladies qui peuvent se proprager à travers les blessures. Les arbres fragilisés sont bien souvent plus sensibles à certaines conditions météorologiques extrêmes (vent violent, orage, canicule…) et peuivent représenter un danger pour les passants»
Mais ses riverains de la rue Jean Jaurés craignent que « ces cerisiers soient remplacés par des arbres «peupliers d’Italie» qui sont très vilains comme on peut le constater avec un exemplaire qui a été planté récemment dans la rue. Des arbres à croissance très lente, qui ne fleurissent pas ou très peu, et qui n’embellissent vraiment pas le cadre de vie» expliquait l’un d’entre eux. «Les remplacements de chaque arbre constituent alors l’opportunité de redéfinir bien souvent les conditions de plantations avec une nouvelle essence plus adaptée, ainsi qu’une nouvelle fosse de plantation pour assurer le développement à long terme de l’arbre et couvrir ainsi ses besoins nutritifs» indiquent la ville et GPSO.
«Il est dommage qu’aucune explication, aucune communication n’ait été faite sur cet abattage, et que vous n’ayez pas profité de la réunion de quartier du 3 juin pour nous en parler» s’étonnait un président de conseil Syndical. La ville et GPSO Font alors remarquer que « qu’au préalable, un avis information avait été affiché sur chaque arbre concerné. Cet avis mentionnait également que chaque arbre sera remplacé par un autre sujet lors de la prochaine saison de plantation de Novembre 2019 à Janvier 2020, période plus propice aux plantations». Mais rien sur son site Internet ou son compte facebook
La réfection de l’Allée des Carrières situé entre la rue Sadi Carnot entre justement et la voie piétonne Danton fait partie de la 3éme phase de requalification du Plateau après le square des droits de l’enfant, le passage du Centre Commercial.
Cette dénomination provient sûrement d’un lieu dit du Plateau « Les Glaises » qui était situé aux alentours du carrefour Albert Legris, indiquant qu’un gisement d’argile (la glaise) était exploité à l’emplacement du Palais Sud (Hall 7) du parc des expositions de la porte de Versailles. D’ailleurs l’origine du nom de la rue du Moulin l’atteste, puisqu’il apparaît toujours aux endroits où des carrières ont existé. Cette glaise donnait, après cuison, cette fameuse brique et tuile dite de «Vaugirard», comme pour cette allée de carrières préféré sûrement à l’allée des glaises. Mais cela s’explique car un autre lieu dit dénommé «Les carrières» était situé entre la voie du chemin de fer et la rue Larmeroux plutôt vers la rue de l’Avenir. Il indiquait la présence de nombreuses carrières souterraines de pierre à bâtir (moellons) qui s’étendaient surtout sur Malakoff.
Voilà pour l’histoire passée. Quant à l’actualité récente, le représentant de GPSO a présenté de programme de reconquête de cette allée, lors de la réunion publique de quartier du Plateau le 3 Juin dernier, avec rénovation de l’éclairage, réaménagement du parvis de l’école primaire Max Fourestier, requalification des espaces verts er rafraichissement de la végétation, installation d’une caméra de vidéosurveillance, et sécurisation du passage pour empêcher l’accès des deux roues aux deux extrémités grâce à des sas. Des travaux qui seront réalisés entre Juillet et Novembre pour un coût de 572 000 €.
Bien évidemment les participants à cette réunion, sont revenus sur les travaux effectués dans le cadre des précédentes phases : Ainsi, pour la place des Provinces, des riverains se sont plaints que les dalles blanches ne sont pas belles et d’inégales niveau. «Cela manque de finition. Et nos parkings sont inondés ! ». Pour le square des droits des enfants, des riverains ont demandé de rehausser les grilles à 2 m. Le maire a tenté d’expliquer qu’à 2 m ou à 1 m cela ne changera rien, il est resté inaudible face à des habitants excédés par ses jeunes qui trainent rue Jean Jaurés et sur cette aire de jeux. De même lorsqu’il a indiqué que des rappels à l’ordre de certaines familles dont les jeunes traînent le soir, sont effectués